C’est un secret de polichinelle que la situation actuelle liée au Coronavirus touche profondément tous les types d’entreprises à travers le monde. Conséquence directe, des nombreuses familles sont dans la misère et demandent le secours de l’humanité.
Obligées d’arrêter temporairement leurs activités, pour d’autres ralentir, les conséquences de la pendemie de Covid-19 sont encore pires pour l’économie mondiale que celles qui ont suivi la grande crise financière de 2007-2008.C’est la deuxième économie mondiale qui sera touchée en premier lieu. La Chine opte pour le confinement drastique, qui a nécessité la fermeture et la réduction des activités d’un certain nombre de grandes entreprises manufacturières et de commerces de détail.
La Chine va souffrir donc de la réduction de la demande mondiale, qui représente 20% de l’économie chinoise.
Aux Etats Unis, puisque les mesures de quarantaine réduisent les activités économiques, les économistes ont prédit une baisse de 30% de la consommation et 12, 8% du niveau de chômage.
En Afrique n’en parlons même pas, juste la peur a conduit certains investisseurs à licencier les employés. Au Congo par exemple, les Restaurants et bars dont obligés de revoir leur mode fonctionnement alors que une grande partie de la population vit ces activités.
Doit-on apprendre à vivre avec cette pendemie ou laisser la peur prendre le dessus ? Ce qui est sûr, des pays développés comme la Chine et le Japon suggèrent que , d’ici l’année la fin de l’année 2021, l’offre et la demande mondiales devraient revenir à la normale.
Pour atteindre ce résultat, les responsables politiques sont obligés de revoir leurs modes de gestion afin d’atténuer la gravité de l’impact, cependant, le virus reste le dernier facteur qui décidera du moment où chaque pays reviendra à la normale.
Baelenge Irenge
